
Dans ce document, la défense rappelle que Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ont été acquittés de crimes contre l'humanité, le 15 janvier dernier. Ce jugement en fait des hommes libres, qui ont le droit de se déplacer, poursuit la défense. Il faut des « circonstances exceptionnelles » pour restreindre leur liberté. Or ces conditions ne sont pas réunies, insiste la défense.
D'abord parce que cela reviendrait à violer les principes établis par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme.
Ensuite, parce que le procureur évoque un « risque de fuite » en ne s'appuyant que sur des hypothèses, sans jamais fournir d'éléments concrets, souligne la défense.
D'abord parce que cela reviendrait à violer les principes établis par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme.
« Risque de fuite » ?
Ensuite, parce que le procureur évoque un « risque de fuite » en ne s'appuyant que sur des hypothèses, sans jamais fournir d'éléments concrets, souligne la défense.
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D'abord parce que cela reviendrait à violer les principes établis par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme.
Ensuite, parce que le procureur évoque un « risque de fuite » en ne s'appuyant que sur des hypothèses, sans jamais fournir d'éléments concrets, souligne la défense.
D'abord parce que cela reviendrait à violer les principes établis par la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme.
« Risque de fuite » ?
Ensuite, parce que le procureur évoque un « risque de fuite » en ne s'appuyant que sur des hypothèses, sans jamais fournir d'éléments concrets, souligne la défense.
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