Il y a quelques mois, Omar Abaaoud confiait son désarroi face à la radicalisation de son fils Abdelhamid et son départ pour la Syrie. "Je me suis demandé tous les jours pour quelle raison il s'est radicalisé à ce point. Je n'ai jamais reçu de réponse. Abdelhamid a jeté la honte sur notre famille. Nos vies sont détruites", avait déclaré ce commerçant de Molenbeek au quotidien belge, La Dernière Heure.
Jeudi, il a appris mercredi la mort du cerveau présumé des attentats de Paris, tué lors de l'assaut de l'appartement de Saint-Denis, où il se cachait avec ses complices. Son corps était "criblé d'impacts" selon le procureur de Paris. Sur la chaîne américaine CNN, l'avocate d'Omar Abaaoud a livré en son nom son sentiment après avoir été informé de cette nouvelle. Il est "pas triste, mais soulagé." Il décrit son fils comme "diabolique psychopathe" et regrette surtout qu'il "n'ait pas été capturé vivant." Ce père de famille veut "comprendre pourquoi il est arrivé à une telle dérive." Il aurait aimé savoir également où se trouvait son autre fils, Younes, emmené en Syrie par Abdelhamid à l'âge de 13 ans.
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Jeudi, il a appris mercredi la mort du cerveau présumé des attentats de Paris, tué lors de l'assaut de l'appartement de Saint-Denis, où il se cachait avec ses complices. Son corps était "criblé d'impacts" selon le procureur de Paris. Sur la chaîne américaine CNN, l'avocate d'Omar Abaaoud a livré en son nom son sentiment après avoir été informé de cette nouvelle. Il est "pas triste, mais soulagé." Il décrit son fils comme "diabolique psychopathe" et regrette surtout qu'il "n'ait pas été capturé vivant." Ce père de famille veut "comprendre pourquoi il est arrivé à une telle dérive." Il aurait aimé savoir également où se trouvait son autre fils, Younes, emmené en Syrie par Abdelhamid à l'âge de 13 ans.
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