Il s’agit d’un nouveau report obtenu par les avocats commis d'office à l’ex-première dame ivoirienne qui ont demandé un délai pour mieux étudier le dossier.
Le procès pourra donc reprendre le 2 février, selon la décision du président de la Cour d'assises.
Trois avocats ivoiriens avaient été "commis d'office" le 20 décembre dernier, en vue de la reprise le 10 janvier du procès de Mme Gbagbo, après le retrait de ses défenseurs.
"Nous demandons un délai de grâce pour mieux nous imprégner du dossier et pour mieux défendre Mme Simone Gbagbo", a plaidé Me Georges Viera Patrick, l'un des avocats commis d'office.
Le juge Kouadjo Boiqui, président de la Cour d'assises qui juge Mme Gbagbo a renvoyé "le procès au 21 févier 2017". Cette dernière était absente lors de la brève audience du tribunal.
Fin novembre, Ange Rodrigue Dadjé, l'avocat de Simone Gbagbo, avait quitté la salle d'audience pour protester contre l'attitude du tribunal qui avait rejeté la demande de la défense, qui exigeait depuis des semaines la comparution de nombreuses personnalités de la crise ivoirienne.
Parmi les personnalités que la défense veut voir à la barre: l'actuel président de l'Assemblée nationale et ancien chef de la rébellion, Guillaume Soro, l'ancien Premier ministre Jeannot Kouadio Ahoussou, et l'ex-chef de l'armée, le général Philippe Mangou.
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Le procès pourra donc reprendre le 2 février, selon la décision du président de la Cour d'assises.
Trois avocats ivoiriens avaient été "commis d'office" le 20 décembre dernier, en vue de la reprise le 10 janvier du procès de Mme Gbagbo, après le retrait de ses défenseurs.
"Nous demandons un délai de grâce pour mieux nous imprégner du dossier et pour mieux défendre Mme Simone Gbagbo", a plaidé Me Georges Viera Patrick, l'un des avocats commis d'office.
Le juge Kouadjo Boiqui, président de la Cour d'assises qui juge Mme Gbagbo a renvoyé "le procès au 21 févier 2017". Cette dernière était absente lors de la brève audience du tribunal.
Fin novembre, Ange Rodrigue Dadjé, l'avocat de Simone Gbagbo, avait quitté la salle d'audience pour protester contre l'attitude du tribunal qui avait rejeté la demande de la défense, qui exigeait depuis des semaines la comparution de nombreuses personnalités de la crise ivoirienne.
Parmi les personnalités que la défense veut voir à la barre: l'actuel président de l'Assemblée nationale et ancien chef de la rébellion, Guillaume Soro, l'ancien Premier ministre Jeannot Kouadio Ahoussou, et l'ex-chef de l'armée, le général Philippe Mangou.
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