Dans une récente étude sur le secteur de la santé en Afrique, il a été établi que les populations consacrent 60% de leurs revenus pour se soigner, alors qu’une couverture maladie universelle serait un bond départ pour leur alléger la charge. De même, la sécheresse qui a affecté plusieurs régions d’Afrique de l’Est et d’Afrique australe en 2016, a de nouveau mis en évidence le coût économique et social considérable des catastrophes naturelles en Afrique subsaharienne.
Selon une analyse du FMI réalisée en 2016, des facteurs structurels tels que le faible développement du secteur financier, les difficultés d’accès au crédit, la forte part de l’agriculture pluviale dans le PIB et les niveaux élevés de pauvreté absolue, limitent la capacité de nombreux pays africains à surmonter rapidement les catastrophes naturelles et à renforcer leur résilience au fil du temps.
Or, même si la région a été le théâtre de l’une des plus fortes croissances du marché des assurances dans le monde ces deux dernières décennies, le taux de pénétration de ces services qui se mesure par le volume des primes émises (somme payée pour garantir les risques) sur le Produit Intérieur Brut demeure très faible, quoiqu’avec certaines disparités.
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Selon une analyse du FMI réalisée en 2016, des facteurs structurels tels que le faible développement du secteur financier, les difficultés d’accès au crédit, la forte part de l’agriculture pluviale dans le PIB et les niveaux élevés de pauvreté absolue, limitent la capacité de nombreux pays africains à surmonter rapidement les catastrophes naturelles et à renforcer leur résilience au fil du temps.
Or, même si la région a été le théâtre de l’une des plus fortes croissances du marché des assurances dans le monde ces deux dernières décennies, le taux de pénétration de ces services qui se mesure par le volume des primes émises (somme payée pour garantir les risques) sur le Produit Intérieur Brut demeure très faible, quoiqu’avec certaines disparités.
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