#JusticePourAnge. Le hashtag est tendance sur Twitter depuis 6h du matin ce dimanche 31 mars. Un mot-clé qui interroge et dénonce les circonstances floues d’un décès que beaucoup jugent suspect.
Ce hashtag fait référence à Ange Dibenesha Marifa, un jeune homme âgé de 32 ans originaire de Grigny, dans l’Essonne. Dans la nuit du mercredi 27 mars au jeudi 28, l’homme est arrêté après un contrôle de police alors qu’il se trouvait Porte d’Italie, dans le treizième arrondissement de la capitale, selon les informations issues des réseaux sociaux.
Sa famille n’aura pas de nouvelles de lui pendant deux jours. Finalement, vendredi matin, ils reçoivent un appel de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris qui leur annonce le pire. Ange est en état de mort cérébrale à la suite d’un arrêt cardiaque, et les médecins pensent arrêter les soins. La décision est finalement prise samedi en fin de journée.
Ange Dibenesha meurt dans la nuit de samedi à dimanche.
Samedi soir, le journaliste Taha Bouhafs relaye sur Twitter une vidéo de la mère d’Ange qui s’indigne : « Nous voulons connaître ce qu’il s’est passé avec mon fils. Ils l’ont gardé pendant deux jours sans nous informer ».
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Ce hashtag fait référence à Ange Dibenesha Marifa, un jeune homme âgé de 32 ans originaire de Grigny, dans l’Essonne. Dans la nuit du mercredi 27 mars au jeudi 28, l’homme est arrêté après un contrôle de police alors qu’il se trouvait Porte d’Italie, dans le treizième arrondissement de la capitale, selon les informations issues des réseaux sociaux.
Sa famille n’aura pas de nouvelles de lui pendant deux jours. Finalement, vendredi matin, ils reçoivent un appel de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris qui leur annonce le pire. Ange est en état de mort cérébrale à la suite d’un arrêt cardiaque, et les médecins pensent arrêter les soins. La décision est finalement prise samedi en fin de journée.
Ange Dibenesha meurt dans la nuit de samedi à dimanche.
Samedi soir, le journaliste Taha Bouhafs relaye sur Twitter une vidéo de la mère d’Ange qui s’indigne : « Nous voulons connaître ce qu’il s’est passé avec mon fils. Ils l’ont gardé pendant deux jours sans nous informer ».
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