
Comme le sait désormais tout le monde ; ainsi que l’ont aussi constaté les amoureux du savoir et de la culture, mais aussi tous les démocrates, le livre ‘’De l’enfer, je reviendrai’’ a disparu des rayons des librairies en Côte d’Ivoire, sur interdiction verbale du Ministre de l’intérieur. Dommage !
Dans ce village planétaire où les idées circulent sur l’autoroute de l’information, nulle entrave ne peut enchainer la pensée et l’esprit, pourtant désormais libres comme un vol d’oiseau. Par cette mesure d’interdiction, le Ministre de l’intérieur fait peser sur la Côte d’Ivoire, un fardeau inutilement lourd qui fait honte à notre pays. Or, quelles que soient les méthodes pour tenter de l’étouffer, arrive toujours le moment où la vérité se révolte et s’échappe pour éloigner de nous, les rumeurs qui nous empoisonnent, nous divisent et retardent inutilement la marche de notre pays vers le développement et la réconciliation. Arrive aussi le moment où les yeux s’ouvrent pour voir ce que l’on croit cacher, que la langue ou la plume s’exprime et brise le silence pour ramener à nos dirigeants le reflet de leurs pratiques qui violent nos valeurs et déshonorent notre société. Vouloir savoir pour comprendre, différencier le vrai du faux, c’est le droit légitime du peuple.
Témoigner pour faire connaitre la vérité des faits et des évènements tels qu’ils se sont déroulés, balayer la rumeur, dissiper les doutes et les craintes pour finalement apaiser les esprits et les cœurs troublés, s’avère un devoir pour tout leader envers son peuple. De ce devoir, il a paru important à Charles Blé Goudé de s’acquitter à travers ‘’De l’enfer, je reviendrai’’. C’est pourquoi il a accepté l’édition de ce livre témoignage qui porte la signature de son avocat.
‘’De l’enfer je reviendrai’’ aborde pourtant avec mesure des sujets qui ont fait couler beaucoup d’encre et de salive et apporte des réponses à tant de questions que chacun de vous se pose légitimement depuis la crise postélectorale.
Chers frères et sœurs ivoiriens, vous avec qui Charles Blé Goudé partage les larmes de la douleur et de la souffrance. Vous de qui les circonstances de la vie l’ont si éloigné, mais vous de qui il se sent pourtant si proche ; envers vous, Charles Blé Goudé a simplement voulu s’acquitter d’un devoir à travers ce témoignage. Malgré cette interdiction, il nourrit encore le secret espoir que la sagesse finira par prévaloir pour éviter de priver les ivoiriens de ce livre auquel les peuples du monde entier ont déjà accès. En attendant qu’il en soit ainsi, armons-nous de patience et de confiance, car Charles Blé Goudé reste convaincu que de l’enfer, ce livre reviendra et finira par se retrouver entre vos mains, pour un jour aider le tribunal de l’histoire à rendre son verdict. Car de l’enfer, tous, nous reviendrons. DE l’enfer, Charles Blé Goudé aussi, un jour reviendra.
Pour le cabinet de Charles Blé Goudé
Youssouf Diaby, porte-parole
Source : BLÉ GOUDÉ News Officielles
Dans ce village planétaire où les idées circulent sur l’autoroute de l’information, nulle entrave ne peut enchainer la pensée et l’esprit, pourtant désormais libres comme un vol d’oiseau. Par cette mesure d’interdiction, le Ministre de l’intérieur fait peser sur la Côte d’Ivoire, un fardeau inutilement lourd qui fait honte à notre pays. Or, quelles que soient les méthodes pour tenter de l’étouffer, arrive toujours le moment où la vérité se révolte et s’échappe pour éloigner de nous, les rumeurs qui nous empoisonnent, nous divisent et retardent inutilement la marche de notre pays vers le développement et la réconciliation. Arrive aussi le moment où les yeux s’ouvrent pour voir ce que l’on croit cacher, que la langue ou la plume s’exprime et brise le silence pour ramener à nos dirigeants le reflet de leurs pratiques qui violent nos valeurs et déshonorent notre société. Vouloir savoir pour comprendre, différencier le vrai du faux, c’est le droit légitime du peuple.
Témoigner pour faire connaitre la vérité des faits et des évènements tels qu’ils se sont déroulés, balayer la rumeur, dissiper les doutes et les craintes pour finalement apaiser les esprits et les cœurs troublés, s’avère un devoir pour tout leader envers son peuple. De ce devoir, il a paru important à Charles Blé Goudé de s’acquitter à travers ‘’De l’enfer, je reviendrai’’. C’est pourquoi il a accepté l’édition de ce livre témoignage qui porte la signature de son avocat.
‘’De l’enfer je reviendrai’’ aborde pourtant avec mesure des sujets qui ont fait couler beaucoup d’encre et de salive et apporte des réponses à tant de questions que chacun de vous se pose légitimement depuis la crise postélectorale.
Chers frères et sœurs ivoiriens, vous avec qui Charles Blé Goudé partage les larmes de la douleur et de la souffrance. Vous de qui les circonstances de la vie l’ont si éloigné, mais vous de qui il se sent pourtant si proche ; envers vous, Charles Blé Goudé a simplement voulu s’acquitter d’un devoir à travers ce témoignage. Malgré cette interdiction, il nourrit encore le secret espoir que la sagesse finira par prévaloir pour éviter de priver les ivoiriens de ce livre auquel les peuples du monde entier ont déjà accès. En attendant qu’il en soit ainsi, armons-nous de patience et de confiance, car Charles Blé Goudé reste convaincu que de l’enfer, ce livre reviendra et finira par se retrouver entre vos mains, pour un jour aider le tribunal de l’histoire à rendre son verdict. Car de l’enfer, tous, nous reviendrons. DE l’enfer, Charles Blé Goudé aussi, un jour reviendra.
Pour le cabinet de Charles Blé Goudé
Youssouf Diaby, porte-parole
Source : BLÉ GOUDÉ News Officielles