Cette juridiction basée à Hambourg, en Allemagne, donne cependant au Ghana l’autorisation de poursuivre l’exploitation des forages pétroliers déjà entamés.
Une partie des forages épargnés par la mesure d’interdiction appartient à la société britannique Tullow Oil.
La Côte d’Ivoire avait demandé la suspension de toutes les activités menées par son voisin sur la zone litigieuse.
Mais le Tribunal international du droit de la mer a estimé que cela pourrait entraîner "une perte financière importante" pour le Ghana.
Il a appelé les autorités ghanéennes à prendre toutes les mesures nécessaires pour s’assurer qu’aucun forage ne sera effectué sur le territoire maritime faisant l’objet du litige.
"Aggraver le litige"
Le Ghana doit également s’abstenir d’octroyer des permis autorisant l’exploitation de la zone maritime en question, qui contiendrait d’importantes réserves pétrolières.
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Une partie des forages épargnés par la mesure d’interdiction appartient à la société britannique Tullow Oil.
La Côte d’Ivoire avait demandé la suspension de toutes les activités menées par son voisin sur la zone litigieuse.
Mais le Tribunal international du droit de la mer a estimé que cela pourrait entraîner "une perte financière importante" pour le Ghana.
Il a appelé les autorités ghanéennes à prendre toutes les mesures nécessaires pour s’assurer qu’aucun forage ne sera effectué sur le territoire maritime faisant l’objet du litige.
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Le Ghana doit également s’abstenir d’octroyer des permis autorisant l’exploitation de la zone maritime en question, qui contiendrait d’importantes réserves pétrolières.
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