
Après une vingtaine d'heures passées en garde à vue, Nicolas Sarkozy aurait été présenté mercredi soir aux juges d'instruction chargés du dossier sur le financement libyen présumé de la campagne présidentielle de 2007.
« La garde à vue de Nicolas Sarkozy est terminée », a déclaré une source proche du dossier à l'AFP, sans préciser les éventuelles suites judiciaires décidées par les magistrats.
Si les juges estiment avoir assez d' « indices graves et concordants », l'ancien président pourrait être mis en examen pour la troisième fois dans une affaire politico-judiciaire en cours, cette fois pour financement illégal de campagne électorale.
« Corruption active et passive », « trafic d'influence »...
Il était entendu depuis mardi matin dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre (Hauts-de-Seine) par des agents de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF).
C'était la première fois qu'il était entendu dans ce dossier depuis l'ouverture d'une information judiciaire pour « corruption active » et « passive », « trafic d'influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux » et « blanchiment » en avril 2013.
L'un des plus fidèles lieutenants de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, a lui aussi été interrogé mardi mais en audition libre.
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« La garde à vue de Nicolas Sarkozy est terminée », a déclaré une source proche du dossier à l'AFP, sans préciser les éventuelles suites judiciaires décidées par les magistrats.
Si les juges estiment avoir assez d' « indices graves et concordants », l'ancien président pourrait être mis en examen pour la troisième fois dans une affaire politico-judiciaire en cours, cette fois pour financement illégal de campagne électorale.
« Corruption active et passive », « trafic d'influence »...
Il était entendu depuis mardi matin dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre (Hauts-de-Seine) par des agents de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF).
C'était la première fois qu'il était entendu dans ce dossier depuis l'ouverture d'une information judiciaire pour « corruption active » et « passive », « trafic d'influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux » et « blanchiment » en avril 2013.
L'un des plus fidèles lieutenants de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, a lui aussi été interrogé mardi mais en audition libre.
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