Après le constat de la recrudescence des crimes rituels enregistrés dans le pays, les autorités du Bénin ont pris la responsabilité de crever l’abcès et de limiter le mal. Les cybercriminels, à chaque fois retrouvés impliqués dans ces crimes odieux de quelque manière que ce soit, sont donc pris pour cible par la police républicaine qui procède à l’arrestation de toutes personnes soupçonnées d’enrichissement illicite par le biais de la cybercriminalité.
Plusieurs personnes sont ainsi tombées dans les mailles de la police mais d’autres, se sentant visés, se sont enfuient vers le Togo. C’est ainsi que les médias, des réseaux sociaux aux sites web en passant par les médias traditionnels ont relayés, tout recoupement fait, les informations signalant la présence de ces individus sur le territoire togolais.
Toutes ces informations ont créé une psychose généralisée au sein de la société togolaise et la population s’est mise en position de « défense réflexe », dénonçant pour certains, les présumés « gay-mans » de leur entourage et pour d’autres se faisant justice en procédant à la vindicte populaire.
Les médias, accusés ou victimes ?
Depuis les premiers « assassinas » jeudi au Togo des présumés cybercriminels, l’opinion a commencé à accuser les médias d’avoir diabolisé ces individus en les traitants de « criminels » sans leur accorder la fameuse « présomption d’innocence », surtout en ce qui concerne les crimes rituels. Selon certains observateurs, ce sont les médias qui ont jeté en pâture ces jeunes aux populations qui en font ce qu’elles veulent.
En efffet, dans la plupart des cas, ce sont des médias sociaux (facebook, whatsapp et autres), que partent toute sorte d’informations, justes ou fausses, mais qui bénéficient d’un relais redoutable dans la rapidité. Les sites professionnels essaient de faire preuve de retenu et de professionnalisme même si parfois certains sont subjectifs dans le rendu de l’information.
Il est donc claire que les médias ne sont pas de moindres dans la psychose que crée ce phénomène de cybercriminalité dans la société. Toutefois, la population, surtout togolaise, doit faire preuve de retenue et de discernement dans l’utilisation des informations reçues afin de ne pas en faire une mauvaise utilisation.
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Plusieurs personnes sont ainsi tombées dans les mailles de la police mais d’autres, se sentant visés, se sont enfuient vers le Togo. C’est ainsi que les médias, des réseaux sociaux aux sites web en passant par les médias traditionnels ont relayés, tout recoupement fait, les informations signalant la présence de ces individus sur le territoire togolais.
Toutes ces informations ont créé une psychose généralisée au sein de la société togolaise et la population s’est mise en position de « défense réflexe », dénonçant pour certains, les présumés « gay-mans » de leur entourage et pour d’autres se faisant justice en procédant à la vindicte populaire.
Les médias, accusés ou victimes ?
Depuis les premiers « assassinas » jeudi au Togo des présumés cybercriminels, l’opinion a commencé à accuser les médias d’avoir diabolisé ces individus en les traitants de « criminels » sans leur accorder la fameuse « présomption d’innocence », surtout en ce qui concerne les crimes rituels. Selon certains observateurs, ce sont les médias qui ont jeté en pâture ces jeunes aux populations qui en font ce qu’elles veulent.
En efffet, dans la plupart des cas, ce sont des médias sociaux (facebook, whatsapp et autres), que partent toute sorte d’informations, justes ou fausses, mais qui bénéficient d’un relais redoutable dans la rapidité. Les sites professionnels essaient de faire preuve de retenu et de professionnalisme même si parfois certains sont subjectifs dans le rendu de l’information.
Il est donc claire que les médias ne sont pas de moindres dans la psychose que crée ce phénomène de cybercriminalité dans la société. Toutefois, la population, surtout togolaise, doit faire preuve de retenue et de discernement dans l’utilisation des informations reçues afin de ne pas en faire une mauvaise utilisation.
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