
Les images sont encore dans toutes les têtes. En Côte d'Ivoire, bien sûr, mais en Afrique aussi. Certains ont crié de joie, ont éprouvé un intense soulagement. D'autres, en revanche, ont été choqués. Et le demeurent. Nous sommes le 11 avril 2011. Laurent Gbagbo et sa femme Simone sont arrêtés dans la résidence présidentielle où ils s'étaient réfugiés depuis le début du mois. L'ex-couple présidentiel est emmené à l'hôtel du Golf. C'est la fin de plus de quatre mois de crise postélectorale. Le conflit aura fait plus de 3 000 morts.
Avec l'arrestation de Laurent Gbagbo, c'est tout un régime qui s'écroule. Ses barons sont arrêtés ou doivent s'exilés. Quatre ans plus tard, l'ancien président ivoirien est en prison à La Haye, où il a attend avec Charles Blé Goudé son procès devant la Cour pénale internationale.
Son parti, le Front patriotique ivoirien (FPI), traverse une crise sans précédent. Divisé entre deux lignes, celle de Pascal Affi N'Guessan et celle d'Abou Drahamane Sangaré, il n'a jamais été aussi proche de l'implosion. Pris dans cette guerre de leadership, les barons de l'ancien régime ont choisi leur camp. Entre Pro-Affi et pro-Sangaré.
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Avec l'arrestation de Laurent Gbagbo, c'est tout un régime qui s'écroule. Ses barons sont arrêtés ou doivent s'exilés. Quatre ans plus tard, l'ancien président ivoirien est en prison à La Haye, où il a attend avec Charles Blé Goudé son procès devant la Cour pénale internationale.
Son parti, le Front patriotique ivoirien (FPI), traverse une crise sans précédent. Divisé entre deux lignes, celle de Pascal Affi N'Guessan et celle d'Abou Drahamane Sangaré, il n'a jamais été aussi proche de l'implosion. Pris dans cette guerre de leadership, les barons de l'ancien régime ont choisi leur camp. Entre Pro-Affi et pro-Sangaré.
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