Des militaires ayant des revendications financières seraient à l'origine de barricades et de l'attaque de commissariats dans la 2e ville ivoirienne.
Bouaké, l'ancienne capitale des rebelles en Côte d'Ivoire connaît une poussée de fièvre ce vendredi. Des tirs à l'arme automatique ont été entendus vendredi à proximité du plus grand camp militaire de la deuxième ville du pays. "C'est une mutinerie des ex-combattants intégrés dans l'armée qui réclament des primes de 5 millions FCFA (7600 euros) plus une maison chacun", a expliqué un militaire sous couvert d'anonymat. Une informations confirmée par un ex-rebelle, sur place, au site du magazine Jeune Afrique.
Les militaires ont attaqué au moins deux commissariats et dressé des barricades au centre-ville, coupant toute circulation, faisant état de tirs d'armes automatiques sporadiques. Les militaires ont pris position à divers carrefours stratégiques de la ville et circulaient dans des véhicules de la police.
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Bouaké, l'ancienne capitale des rebelles en Côte d'Ivoire connaît une poussée de fièvre ce vendredi. Des tirs à l'arme automatique ont été entendus vendredi à proximité du plus grand camp militaire de la deuxième ville du pays. "C'est une mutinerie des ex-combattants intégrés dans l'armée qui réclament des primes de 5 millions FCFA (7600 euros) plus une maison chacun", a expliqué un militaire sous couvert d'anonymat. Une informations confirmée par un ex-rebelle, sur place, au site du magazine Jeune Afrique.
Les militaires ont attaqué au moins deux commissariats et dressé des barricades au centre-ville, coupant toute circulation, faisant état de tirs d'armes automatiques sporadiques. Les militaires ont pris position à divers carrefours stratégiques de la ville et circulaient dans des véhicules de la police.
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