Les membres de la police criminelle dans la cour du bâtiment du Plateau ne sont pas peu fiers de leur prise. Cinq membres d'une bande, qui fait partie de ceux qui se sont spectaculairement évadés du palais de justice en août.
Parmi eux, un leader surnommé « gouverneur », présumé chef de bande qui ne s'est pas contenté de s'évader, mais qui a presque aussitôt commis de nouveaux forfaits, comme le confirme Raymond Elloh, le directeur de la police criminelle : « Quand ils se sont évadés du palais de justice, ils se sont retrouvés pour la plupart au Mali où ils ont changé d’identité avant de revenir en Côte d’Ivoire. C’est eux qui ont attaqué le commissariat du 34e arrondissement d’Abobo Baoulé [le 26 septembre]. Là-bas, ils ont pris des armes, deux kalachnikovs et une radio de police. Après ça, ils ont attaqué le fourgon [le 23 octobre] et ont emporté la somme de 23 millions de francs CFA. Avant le fourgon, ils ont désarmé des policiers qui étaient de faction à la gare de Bassam. Ils ont emporté leurs armes, leurs pistolets ».
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Parmi eux, un leader surnommé « gouverneur », présumé chef de bande qui ne s'est pas contenté de s'évader, mais qui a presque aussitôt commis de nouveaux forfaits, comme le confirme Raymond Elloh, le directeur de la police criminelle : « Quand ils se sont évadés du palais de justice, ils se sont retrouvés pour la plupart au Mali où ils ont changé d’identité avant de revenir en Côte d’Ivoire. C’est eux qui ont attaqué le commissariat du 34e arrondissement d’Abobo Baoulé [le 26 septembre]. Là-bas, ils ont pris des armes, deux kalachnikovs et une radio de police. Après ça, ils ont attaqué le fourgon [le 23 octobre] et ont emporté la somme de 23 millions de francs CFA. Avant le fourgon, ils ont désarmé des policiers qui étaient de faction à la gare de Bassam. Ils ont emporté leurs armes, leurs pistolets ».
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