Côté gouvernement on a été pris de cours, hier après-midi, puisque l'annonce de la CPI est tombée en plein Conseil des ministres. De ce fait, le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, est resté très prudent dans ses commentaires expliquant que les autorités ivoiriennes allaient se donner le temps de la réflexion pour étudier la demande de transfèrement de Simone Gbagbo à La Haye.
A propos des termes, très sévères, utilisés par la CPI mettant en cause la capacité de la justice ivoirienne à conduire le procès de Simone Gbagbo, le porte-parole a répondu que l’appareil judiciaire récupéré par le gouvernement ivoirien, au sortir de la crise, était en lambeaux et que les autorités faisaient « le maximum de ce qu’elles pouvaient ».
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A propos des termes, très sévères, utilisés par la CPI mettant en cause la capacité de la justice ivoirienne à conduire le procès de Simone Gbagbo, le porte-parole a répondu que l’appareil judiciaire récupéré par le gouvernement ivoirien, au sortir de la crise, était en lambeaux et que les autorités faisaient « le maximum de ce qu’elles pouvaient ».
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