
Malgré l'absence de Laurent Gbagba, détenu à La Haye, ses partisans souhaitent le voir prendre la tête du FPI - Maureen Grisot / RFI
Laurent Gbagbo n'est pas là mais ça ne les empêche pas d'y croire. Ils sont plusieurs centaines à brandir fièrement l'effigie de leur mentor sur des fanions, des pagnes ou encore des chapeaux. Les cadres du FPI semblent faire front commun, les compagnons de longue date comme Abou Drahamane Sangare, ceux qui assurent l'intérim depuis 2011 comme Laurent Akoun ou Sylvain Miaka Oureto, et ceux qui viennent juste de rentrer d'exil, comme Adou Assoa.
L'ancien ministre, directeur de cette campagne, assure que Laurent Gbagbo est le seul à pouvoir unifier le parti. « Lorsque tu as un parti et que les camarades n’arrivent pas à s’accorder sur un dirigeant possible pour porter la lutte, lui qui est prisonnier est obligé de dire ‘je m’offre encore une fois pour sauver mon parti’ », estime Adou Assoa.
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L'ancien ministre, directeur de cette campagne, assure que Laurent Gbagbo est le seul à pouvoir unifier le parti. « Lorsque tu as un parti et que les camarades n’arrivent pas à s’accorder sur un dirigeant possible pour porter la lutte, lui qui est prisonnier est obligé de dire ‘je m’offre encore une fois pour sauver mon parti’ », estime Adou Assoa.
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