
L’entretien entre Mo Ibrahim, président de la fondation éponyme, et Alassane Ouattara a duré près d’une heure. Heure pendant laquelle le chef de l’État a dressé les bons points de sa gouvernance après huit ans à la tête du pays. L’échange s’est terminé sur la question fatidique : troisième mandat ou pas troisième mandat ?
Le président ivoirien, qui estime pouvoir se représenter depuis l’adoption en 2016 de la nouvelle Constitution, a pris son temps pour répondre : « 75% des Africains ont moins de 35 ans. Donc, il est clair que, pour moi, la voix va vers une nouvelle génération. Ça me paraît tellement évident. » Passer le flambeau, Alassane Ouattara l’affirmait par deux fois déjà l’été dernier. Mais ce dimanche, cela lui a valu une ovation du public. Et pourtant, « Je ne vous dis pas que je m’en vais (rires et applaudissements). Il y a un certain nombre d'amis que je consulterai avant de prendre ma décision définitive. »
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Le président ivoirien, qui estime pouvoir se représenter depuis l’adoption en 2016 de la nouvelle Constitution, a pris son temps pour répondre : « 75% des Africains ont moins de 35 ans. Donc, il est clair que, pour moi, la voix va vers une nouvelle génération. Ça me paraît tellement évident. » Passer le flambeau, Alassane Ouattara l’affirmait par deux fois déjà l’été dernier. Mais ce dimanche, cela lui a valu une ovation du public. Et pourtant, « Je ne vous dis pas que je m’en vais (rires et applaudissements). Il y a un certain nombre d'amis que je consulterai avant de prendre ma décision définitive. »
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