Ils sont environ 200 à débattre, écouter, proposer. Ils ont moins de 35 ans, certains sont juristes, d'autres bloggeurs. Il y a aussi des militants des droits de l'homme. Tous ont décidé de s'engager, de s'emparer du projet de la nouvelle Constitution et faire, eux aussi, des propositions de réforme comme la séparation stricte des pouvoirs ou encore l’indépendance de la justice. Ils planchent sur de possibles articles convaincus, comme Magloire N'Dehi, que dans un pays où 77% de la population a moins de 35 ans, la voix des jeunes doit compter.
« Nos aînés qui sont en train de réfléchir, aujourd’hui, ont cinquante ans derrière eux. Les jeunes, aujourd’hui, ont cinquante ans devant eux. Donc, c’est pour eux la Constitution. Que veulent les jeunes pour la Côte d’Ivoire ? Qu’est-ce qu’ils veulent, dans les trente ans à venir ? Nous voulons vraiment que la voix des jeunes soit prise en compte », a insisté Magloire N’Dehi.
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« Nos aînés qui sont en train de réfléchir, aujourd’hui, ont cinquante ans derrière eux. Les jeunes, aujourd’hui, ont cinquante ans devant eux. Donc, c’est pour eux la Constitution. Que veulent les jeunes pour la Côte d’Ivoire ? Qu’est-ce qu’ils veulent, dans les trente ans à venir ? Nous voulons vraiment que la voix des jeunes soit prise en compte », a insisté Magloire N’Dehi.
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