
Face au risque de nouveaux soulèvements dans les casernes, l’état-major des armées a pris les devants en demandant à l’ensemble des forces de défense et de sécurité de se mettre en alerte du 1er au 18 mai.
Selon nos sources, sept militaires en poste à Bouaké, suspectés d’être les meneurs de ce possible mouvement de contestation, ont été convoqués les 2 et 4 mai à Abidjan par le chef d’état-major Sékou Touré. Ils devraient être mutés dans les prochains jours.
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Selon nos sources, sept militaires en poste à Bouaké, suspectés d’être les meneurs de ce possible mouvement de contestation, ont été convoqués les 2 et 4 mai à Abidjan par le chef d’état-major Sékou Touré. Ils devraient être mutés dans les prochains jours.
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