C’est l’APDH qui avait saisi la Cour africaine des droits de l’homme au sujet de la Commission électorale ivoirienne (CEI). Il y a deux jours, cette ONG rencontrait de nouveau le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, pour la deuxième phase du processus de dialogue sur la réforme de la CEI.
Dans ses propositions, l’APDH demande la mise en place d’une Commission technique vidée des représentants des partis politiques qui deviendraient alors de simples observateurs, ainsi qu’un budget annuel pour assurer son autonomie financière. Des propositions qui renforcent l’indépendance et l’impartialité de l’institution, d’après l’ONG.
Cependant, le groupe issu de la société civile craint surtout que le gouvernement ne se contente que d’un simple rééquilibrage politique parmi les membres de la CEI, une solution inacceptable pour Arsène Néné Bi, président de l’APDH.
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Dans ses propositions, l’APDH demande la mise en place d’une Commission technique vidée des représentants des partis politiques qui deviendraient alors de simples observateurs, ainsi qu’un budget annuel pour assurer son autonomie financière. Des propositions qui renforcent l’indépendance et l’impartialité de l’institution, d’après l’ONG.
Cependant, le groupe issu de la société civile craint surtout que le gouvernement ne se contente que d’un simple rééquilibrage politique parmi les membres de la CEI, une solution inacceptable pour Arsène Néné Bi, président de l’APDH.
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