
A quelques semaines de l'élection présidentielle, la Coalition nationale pour le changement (CNC) exige une rencontre avec le pouvoir. Selon Jean-Jacques Bechio, porte-parole de la coalition, la CNC a adressé plusieurs correspondances au chef de l'Etat Alassane Ouattara en vue d'attirer son attention sur les revendications de la coalition de l'opposition. Mais celles-ci ont été jusqu'alors ignorées par le pouvoir en place.
Jean-Jacques Bechio s’indigne : « On réclame la discussion depuis longtemps, on ne nous l’accord pas, on nous menace. En quoi le fait de dire qu’il faut s’asseoir pour discuter pour aller à des élections transparentes peut être considéré comme étant un crime ? »
Même si quatre de ses membres se sont portés candidats à la présidentielle de 2015, la CNC pourrait ne pas prendre part au scrutin. Pour son porte-parole, il n'y a aucune relation de cause à effet entre le dépôt de candidature et leur participation effective à ce scrutin. Seule la prise en compte de leurs exigences permettra le bon déroulement de l'élection.
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Jean-Jacques Bechio s’indigne : « On réclame la discussion depuis longtemps, on ne nous l’accord pas, on nous menace. En quoi le fait de dire qu’il faut s’asseoir pour discuter pour aller à des élections transparentes peut être considéré comme étant un crime ? »
Même si quatre de ses membres se sont portés candidats à la présidentielle de 2015, la CNC pourrait ne pas prendre part au scrutin. Pour son porte-parole, il n'y a aucune relation de cause à effet entre le dépôt de candidature et leur participation effective à ce scrutin. Seule la prise en compte de leurs exigences permettra le bon déroulement de l'élection.
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