
Après un dimanche calme, sans altercation ni tension, ces dernières vont s'inviter en fin de journée au bureau de l'école Bassam 1 et 2 du quartier France, surtout composé de votants en faveur du maire sortant PDCI Georges Philippe Ezaley.
La foule est agglutinée autour de l'école, visiblement pour veiller, voire surveiller le bon déroulement du scrutin, quand un groupe d'hommes pénètrent dans les bureaux sous les yeux des forces de l'ordre, pourtant présentes en nombre.
La foule se soulève et accuse le pouvoir, venu, selon elle, lui voler sa victoire. « Ils ont tout cassé, même si les policiers étaient là, ils ont cassé les urnes. Les policiers ne sont même pas intervenus, parce qu’ils sont de leur camp », s'insurge une femme.
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La foule est agglutinée autour de l'école, visiblement pour veiller, voire surveiller le bon déroulement du scrutin, quand un groupe d'hommes pénètrent dans les bureaux sous les yeux des forces de l'ordre, pourtant présentes en nombre.
La foule se soulève et accuse le pouvoir, venu, selon elle, lui voler sa victoire. « Ils ont tout cassé, même si les policiers étaient là, ils ont cassé les urnes. Les policiers ne sont même pas intervenus, parce qu’ils sont de leur camp », s'insurge une femme.
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