
Les bureaux des avocats sont installés dans la salle des pas perdus. Les Ivoiriens ne se font pas prier pour exposer leurs soucis. Jean-Paul Sailly s’est fait déloger de son champ en 2012 près d’Abidjan. Aujourd’hui, l’espoir renaît pour lui.
« Après dix mois d’activité, dit-il, le propriétaire m’a chassé du domaine, alors qu’on a bien signé un contrat à la mairie. Je voulais toujours continuer à payer mais il a refusé. Toute ma récolte est restée là-bas (…) Aujourd’hui, mon problème est résolu. Je peux partir sur le terrain maintenant… Comme dit l’adage, " mon peuple périt par faute de connaissance ". Aujourd’hui, nous avons la connaissance qui se déplace vers nous, et dont nous sommes satisfaits. »
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« Après dix mois d’activité, dit-il, le propriétaire m’a chassé du domaine, alors qu’on a bien signé un contrat à la mairie. Je voulais toujours continuer à payer mais il a refusé. Toute ma récolte est restée là-bas (…) Aujourd’hui, mon problème est résolu. Je peux partir sur le terrain maintenant… Comme dit l’adage, " mon peuple périt par faute de connaissance ". Aujourd’hui, nous avons la connaissance qui se déplace vers nous, et dont nous sommes satisfaits. »
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