Dans le cimetière de Bingerville, des herbes folles à perte de vue. Sous la broussaille, des pierres tombales qui se sont effondrées, faute d’entretien. Ici, pas l’ombre d’un agent du district d’Abidjan, pourtant censé le garder en bon état. Un cimetière entretenu par la seule bonne volonté des riverains comme Lamissa.
"Ce sont les habitants qui s’occupent du cimetière, explique Lamissa Coulibaly, habitant de Bingerville. C’est pour ça que vous voyez qu’il y a de l’herbe autour et que c’est touffu partout et que les tombes sont cassées. Ce n’est pas bien, les cimetières, on doit les entretenir parce que tout le monde va finir ici."
Quelques kilomètres plus loin, un autre cimetière, celui de Yopougon, la plus grande commune d’Abidjan. Ici, plus d’espace disponible pour enterrer les défunts. Alors, les employés du cimetière sont parfois contraints d’enterrer les corps les uns sur les autres.
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"Ce sont les habitants qui s’occupent du cimetière, explique Lamissa Coulibaly, habitant de Bingerville. C’est pour ça que vous voyez qu’il y a de l’herbe autour et que c’est touffu partout et que les tombes sont cassées. Ce n’est pas bien, les cimetières, on doit les entretenir parce que tout le monde va finir ici."
Quelques kilomètres plus loin, un autre cimetière, celui de Yopougon, la plus grande commune d’Abidjan. Ici, plus d’espace disponible pour enterrer les défunts. Alors, les employés du cimetière sont parfois contraints d’enterrer les corps les uns sur les autres.
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