« On m’accuse, on me salit (…). Que l’enquête concernant cette affaire aille à son terme ! » a lancé l’épouse de l’ex-président Laurent Gbagbo, qui a déjà été entendue par la justice française sur la disparition du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer dans la capitale ivoirienne en 2004.
« Il faut qu’on sache qui était Kieffer. Je suis intéressée de le savoir. Je ne le connais pas et n’avais jamais entendu parler de lui », a poursuivi Simone Gbagbo, interrogée par ses avocats au deuxième jour de ce procès repris lundi après une semaine de suspension.
« Aujourd’hui, [Laurent] Gbagbo n’est plus au pouvoir, moi je suis en prison et ils n’ont plus intérêt à réveiller une affaire qui pourrait se retourner contre eux-mêmes. Ils vont faire le mort sur le dossier », a-t-elle poursuivi, en faisant allusion au pouvoir en place.
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« Il faut qu’on sache qui était Kieffer. Je suis intéressée de le savoir. Je ne le connais pas et n’avais jamais entendu parler de lui », a poursuivi Simone Gbagbo, interrogée par ses avocats au deuxième jour de ce procès repris lundi après une semaine de suspension.
« Aujourd’hui, [Laurent] Gbagbo n’est plus au pouvoir, moi je suis en prison et ils n’ont plus intérêt à réveiller une affaire qui pourrait se retourner contre eux-mêmes. Ils vont faire le mort sur le dossier », a-t-elle poursuivi, en faisant allusion au pouvoir en place.
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