À en croire la première responsable de cette organisation, ce sit-in a pour objet de demander notamment la gratuité de la carte nationale d’Identité (CNI), exiger la réforme de la CEI pour des élections transparentes, et surtout, un cadre d’échange inclusif qui permettra de résoudre tous les problèmes qui menacent les élections de 2020 en Côte d’Ivoire.
S’insurgeant contre le déficit de démocratie et la réconciliation qui n’a jamais été la préoccupation du pouvoir Ouattara, Pulchérie Gbalet dira, «Nous ne pouvons pas et nous ne devons pas continuer à dormir. Fiers ivoiriens, le pays nous appelle!», a-t-elle martelé. Et d’expliquer que la liberté d’association, de réunion et d’expression qui fait partie des droits fondamentaux et inaliénables est fortement menacée. Pour elle, nous nous acheminons à n’en point douter, vers un état policier.
Concernant la réforme de la CEI, la présidente de l’ACI révèle que les différentes consultations n’étaient juste qu’un effet d’annonce. Aux dernières nouvelles, selon elle, cette “réforme” a été faite d’une façon cavalière, excluant l’opposition significative, de même que les recommandations de l’opposition et de la société civile.
De fait, la présidente de l’ACI dénonce le fait que le gouvernement ait procédé à une recomposition plutôt qu’à une réforme, et d’avoir imposé sa CEI qui n’est pas différente de l’actuelle, si ce n’est par le nombre de membres qui est passé de 17 à 15.
Et pourtant, le gouvernement entend soumettre sa proposition contestée, ce mardi 16 juillet 2019 à l’Assemblée nationale.
De notre correspondant à Abidjan
Jacob BLAGUE
S’insurgeant contre le déficit de démocratie et la réconciliation qui n’a jamais été la préoccupation du pouvoir Ouattara, Pulchérie Gbalet dira, «Nous ne pouvons pas et nous ne devons pas continuer à dormir. Fiers ivoiriens, le pays nous appelle!», a-t-elle martelé. Et d’expliquer que la liberté d’association, de réunion et d’expression qui fait partie des droits fondamentaux et inaliénables est fortement menacée. Pour elle, nous nous acheminons à n’en point douter, vers un état policier.
Concernant la réforme de la CEI, la présidente de l’ACI révèle que les différentes consultations n’étaient juste qu’un effet d’annonce. Aux dernières nouvelles, selon elle, cette “réforme” a été faite d’une façon cavalière, excluant l’opposition significative, de même que les recommandations de l’opposition et de la société civile.
De fait, la présidente de l’ACI dénonce le fait que le gouvernement ait procédé à une recomposition plutôt qu’à une réforme, et d’avoir imposé sa CEI qui n’est pas différente de l’actuelle, si ce n’est par le nombre de membres qui est passé de 17 à 15.
Et pourtant, le gouvernement entend soumettre sa proposition contestée, ce mardi 16 juillet 2019 à l’Assemblée nationale.
De notre correspondant à Abidjan
Jacob BLAGUE