Selon le porte-parole du gouvernement, compte tenu de la situation exceptionnelle liée à la pandémie du Covid-19 et des mesures contraignantes nécessitées par l’impératif de riposte nationale qui rendent difficile la tenue des réunions parlementaires, le Conseil a adopté l’ordonnance portant révision du Code électoral.
À en croire le ministre de la communication et des médias, ce nouveau dispositif met en cohérence le Code électoral avec la nouvelle Constitution, notamment dans ses dispositions précisant les dates du 1er et du second tour de l’élection présidentielle, ainsi que celles relatives à l’élection des Sénateurs. Il apporte, en outre, sur la base des délibérations de la concertation entre le gouvernement, l’ensemble des partis et groupements politiques et la société civile, des innovations majeures qui se résument pour l’essentiel, à l’institution du parrainage citoyen pour l’élection présidentielle, le relèvement du niveau de cautionnement à 50 millions pour l’élection présidentielle et l’abaissement à 5% du taux de suffrage requis pour le remboursement du cautionnement.
Par ailleurs, il est à noter « la suppression de la référence aux « intérêts économiques et sociaux » comme condition d’inscription sur la liste électorale, et son remplacement par des critères plus objectifs se référant au « domicile », à la « résidence », au « lieu d’inscription au rôle des contributions » et au « lieu d’immatriculation des Ivoiriens à l’étranger », à l’effet de lutter contre la transhumance des électeurs », a indiqué le ministre Sidi Touré.
Jacob BLAGUE
Correspondant permanent à Abidjan
À en croire le ministre de la communication et des médias, ce nouveau dispositif met en cohérence le Code électoral avec la nouvelle Constitution, notamment dans ses dispositions précisant les dates du 1er et du second tour de l’élection présidentielle, ainsi que celles relatives à l’élection des Sénateurs. Il apporte, en outre, sur la base des délibérations de la concertation entre le gouvernement, l’ensemble des partis et groupements politiques et la société civile, des innovations majeures qui se résument pour l’essentiel, à l’institution du parrainage citoyen pour l’élection présidentielle, le relèvement du niveau de cautionnement à 50 millions pour l’élection présidentielle et l’abaissement à 5% du taux de suffrage requis pour le remboursement du cautionnement.
Par ailleurs, il est à noter « la suppression de la référence aux « intérêts économiques et sociaux » comme condition d’inscription sur la liste électorale, et son remplacement par des critères plus objectifs se référant au « domicile », à la « résidence », au « lieu d’inscription au rôle des contributions » et au « lieu d’immatriculation des Ivoiriens à l’étranger », à l’effet de lutter contre la transhumance des électeurs », a indiqué le ministre Sidi Touré.
Jacob BLAGUE
Correspondant permanent à Abidjan