La chaîne américaine de restauration rapide KFC, connue pour ses recettes à base de poulet frit, doit ouvrir d’ici la fin de l’année 2018 son premier restaurant à Abidjan.
Ce n’est pas la première tentative du groupe, qui avait déjà tenté de se lancer dans la capitale économique ivoirienne en 2015, à l’occasion de l’ouverture du centre commercial Playce de Marcory, mais les discussions avec la coentreprise de Carrefour et de CFAO, qui devait porter localement l’enseigne américaine, avaient fait long feu, et c’est finalement un Burger King, autre chaîne américaine de fast-food, qui s’est installé dans le nouveau centre commercial.
Chantier en cours
Cette fois-ci, pourtant, le projet pourrait bien être mis sur pied : les travaux de construction de l’établissement, toujours dans le quartier résidentiel et commerçant de Marcory, à proximité des centres commerciaux Prima du groupe Hizyazi et Cap Sud de Prosuma, ont commencé.
Il y a eu une entente entre Vivo Energy Côte d’Ivoire et KFC, il ne reste qu’à signer et finaliser l’accord
Cette fois-ci, c’est avec Vivo Energy CI, la filiale locale du groupe de distribution de produits pétroliers Vivo Energy, que le groupe américain a discuté. Ce dernier a en effet redéfini il y a quelques années sa stratégie pour diversifier ses activités et multiplie depuis les partenariats avec des groupes internationaux dans la restauration, adossés à son immense réseau de stations-service.
« Il y a eu une entente entre Vivo Energy Côte d’Ivoire et KFC, il ne reste qu’à signer et finaliser l’accord », révèle une source proche du dossier. Ce sera donc l’Ivoirien Ben Hassan Ouattara, un ex-directeur maritime Afrique pour les produits de Shell, diplômé de l’École navale de Brest (France) et passé par l’académie de Quantico en Virginie, qui contrôlera la franchise.
Des standards de production à améliorer pour le poulet local
Alors que le premier établissement devrait ouvrir ses portes dans le courant du deuxième semestre 2018, quatre autres restaurants sont prévus dans les cinq prochaines années, dans différents quartiers de la capitale économique où la classe moyenne a pignon sur rue, poursuit notre source.
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Ce n’est pas la première tentative du groupe, qui avait déjà tenté de se lancer dans la capitale économique ivoirienne en 2015, à l’occasion de l’ouverture du centre commercial Playce de Marcory, mais les discussions avec la coentreprise de Carrefour et de CFAO, qui devait porter localement l’enseigne américaine, avaient fait long feu, et c’est finalement un Burger King, autre chaîne américaine de fast-food, qui s’est installé dans le nouveau centre commercial.
Chantier en cours
Cette fois-ci, pourtant, le projet pourrait bien être mis sur pied : les travaux de construction de l’établissement, toujours dans le quartier résidentiel et commerçant de Marcory, à proximité des centres commerciaux Prima du groupe Hizyazi et Cap Sud de Prosuma, ont commencé.
Il y a eu une entente entre Vivo Energy Côte d’Ivoire et KFC, il ne reste qu’à signer et finaliser l’accord
Cette fois-ci, c’est avec Vivo Energy CI, la filiale locale du groupe de distribution de produits pétroliers Vivo Energy, que le groupe américain a discuté. Ce dernier a en effet redéfini il y a quelques années sa stratégie pour diversifier ses activités et multiplie depuis les partenariats avec des groupes internationaux dans la restauration, adossés à son immense réseau de stations-service.
« Il y a eu une entente entre Vivo Energy Côte d’Ivoire et KFC, il ne reste qu’à signer et finaliser l’accord », révèle une source proche du dossier. Ce sera donc l’Ivoirien Ben Hassan Ouattara, un ex-directeur maritime Afrique pour les produits de Shell, diplômé de l’École navale de Brest (France) et passé par l’académie de Quantico en Virginie, qui contrôlera la franchise.
Des standards de production à améliorer pour le poulet local
Alors que le premier établissement devrait ouvrir ses portes dans le courant du deuxième semestre 2018, quatre autres restaurants sont prévus dans les cinq prochaines années, dans différents quartiers de la capitale économique où la classe moyenne a pignon sur rue, poursuit notre source.
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