
Charles Konan Banny était le candidat de la Coalition nationale pour le changement (CNC). © Sandra Rocha/J.A.
L'ancien Premier ministre Charles Konan Banny a annoncé vendredi qu'il se retirait de la présidentielle dont le premier tour est fixé au 25 octobre. Après Amara Essy et Mamadou Koulibaly, c'est le troisième candidat à prendre cette décision.
Charles Konan Banny : « Pourquoi Ouattara n'est plus mon ami »
« À partir de cet instant, je ne participe plus à ce processus inique », a déclaré Charles Konan Banny. L’ancien Premier ministre a annoncé son retrait de la course à la présidentielle vendredi 23 octobre lors d’une conférence de presse d’une vingtaine de minutes donnée à son domicile de la Riviera, à Abidjan. Au même moment, le denier meeting de campagne du président Alassane Ouattara dans le quartier du Plateau démarrait…
« Ce scrutin ne sera pas sincère, transparent ni inclusif », a ajouté celui qui était le candidat de la Coalition nationale pour le changement (CNC) dénonçant de « graves irrégularités » dans l’organisation de la présidentielle. Il n’a en revanche donné aucune consigne de vote.
Et maintenant KKB ?
L’ancien gouverneur de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), devenu Premier ministre sous Laurent Gbagbo (de 2005 à 2007), puis nommé en 2011 à la tête de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR), a rappelé son opposition à « l’appel de Daoukro », par lequel Henri Konan Bédié a demandé au PDCI de soutenir la candidature d’Alassane Ouattara.
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« Ce scrutin ne sera pas sincère, transparent ni inclusif », a ajouté celui qui était le candidat de la Coalition nationale pour le changement (CNC) dénonçant de « graves irrégularités » dans l’organisation de la présidentielle. Il n’a en revanche donné aucune consigne de vote.
Et maintenant KKB ?
L’ancien gouverneur de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), devenu Premier ministre sous Laurent Gbagbo (de 2005 à 2007), puis nommé en 2011 à la tête de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR), a rappelé son opposition à « l’appel de Daoukro », par lequel Henri Konan Bédié a demandé au PDCI de soutenir la candidature d’Alassane Ouattara.
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