« C'est un avertissement pour la Côte d'Ivoire », prévient Aqmi, et pour tous les alliés de la France ayant « participé aux combats contre les jihadistes ». En frappant Grand-Bassam, l'organisation affirme viser un pays lié aux opérations militaires françaises au Sahel. D'abord Serval, puis Barkhane. Aqmi les appelle à « se retirer de cette alliance satanique », sans quoi « les jihadistes les viseront jusque dans leurs repaires les plus fortifiés », menace l'organisation.
Le communiqué présente aussi l'attentat de Grand-Bassam comme « une vengeance » pour « nos frères récemment tués par la France ». Allusion sans doute à l'élimination, par les forces spéciales françaises, d'Abou al-Nour al-Andalusi, émir de la zone saharienne d'Aqmi. Le groupe terroriste évoque également la remise de prisonniers au Mali par la Côte d'Ivoire, en référence à l'extradition par Abidjan de sept jihadistes soupçonnés d'avoir participé aux attaques de Misseni et Fakola, sur la frontière ivoiro-malienne l'été dernier.
Lire la suite
Le communiqué présente aussi l'attentat de Grand-Bassam comme « une vengeance » pour « nos frères récemment tués par la France ». Allusion sans doute à l'élimination, par les forces spéciales françaises, d'Abou al-Nour al-Andalusi, émir de la zone saharienne d'Aqmi. Le groupe terroriste évoque également la remise de prisonniers au Mali par la Côte d'Ivoire, en référence à l'extradition par Abidjan de sept jihadistes soupçonnés d'avoir participé aux attaques de Misseni et Fakola, sur la frontière ivoiro-malienne l'été dernier.
Lire la suite