Au cours d'un point de presse, le premier responsable des démobilisés a qualifié cette information d'intoxication visant à pousser les ex-combattants à la révolte. « Je voudrais dire aux auteurs de ma vidéo qui fait le tour des réseaux sociaux et dans certains médias qui ont publié ma photo que j'ai été arrêté lors d'une marche à Bouaké, ensuite maté. Je leur demande de venir désormais à la source de l'information. Je pense que ce sont des gens qui veulent que le pays brûle, mais ils se trompent. Qu'ils viennent me dire l'endroit où cette marche s'est tenue ? Je leur demande de ne pas rester dans les bureaux et prendre des informations sur les réseaux sociaux pour me salir. Je pense que c'est de l'insulte à ma personne. Parce que je n'ai pas annoncé de grève pour qu'on m'arrête. J'ai pas été tabassé ce jeudi (26 octobre 2017), on ne m'a rien fait, j'ai même donné les informations vraies à ceux qui sont venus vers moi. Ceux qui pensent pouvoir manipuler les démobilisés se trompent », a-t-il martelé. Quant à la vidéo publiée sur les réseaux sociaux, il a tenu à situer le contexte dans lequel celle-ci a été faite.
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