Après l’acquittement de l’ancien président, Laurent Gbagbo et son ministre Charles Blé Goudé, le 15 janvier dernier, des victimes de la crise postélectorale de 2010, qui a fait plus de 3000 morts, ont manifesté contre la décision de la Cour Pénale Internationale (CPI). Depuis un moment la donne semble avoir changée.
Le week-end dernier, les victimes de la crise, réunis au sein du Collectif des Victimes de Côte d’Ivoire, dirigé par Issiaka Diaby, ont manifesté devant la mairie de la commune d’Abobo afin qu’une enquête soit ouverte dans le camp opposé au régime d’alors. « Pendant la crise post-électorale, il faut le reconnaître, des citoyens ont été ciblés parce qu’ils sont favorables à Ouattara et d’autre à Laurent Gbagbo. Si on poursuit Laurent Gbagbo, on doit poursuivre d’autres personnes, c’est l’équité en matière de justice », a déclaré le président du (CVCI).
Selon lui, la justice doit travailler tout en tenant compte des victimes. « Nous estimons que la justice ne doit pas œuvrer au détriment des victimes », a-t-il soutenu.
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Le week-end dernier, les victimes de la crise, réunis au sein du Collectif des Victimes de Côte d’Ivoire, dirigé par Issiaka Diaby, ont manifesté devant la mairie de la commune d’Abobo afin qu’une enquête soit ouverte dans le camp opposé au régime d’alors. « Pendant la crise post-électorale, il faut le reconnaître, des citoyens ont été ciblés parce qu’ils sont favorables à Ouattara et d’autre à Laurent Gbagbo. Si on poursuit Laurent Gbagbo, on doit poursuivre d’autres personnes, c’est l’équité en matière de justice », a déclaré le président du (CVCI).
Selon lui, la justice doit travailler tout en tenant compte des victimes. « Nous estimons que la justice ne doit pas œuvrer au détriment des victimes », a-t-il soutenu.
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