
« Cette commission ne respecte pas les engagements que nous avons tous pris ensemble et souhaités par tous les Ivoiriens, à savoir, une commission consensuelle afin d’aborder avec le maximum de sérénité les prochaines échéances électorales qui seront déterminantes pour la réconciliation nationale », a ajouté M. Affi. Il convient donc, selon lui, de « dénoncer et condamner cette volonté de passage en force » du gouvernement Ouattara. Dan ces conditions, que fait désormais le fpi ? « Nous allons continuer à tout mettre en œuvre pour que le pays se dote d’une vraie commission électorale indépendante et cela avec les moyens habituels à la disposition des partis politiques», a répondu M. Affi. Qui estime que la posture adoptée par les partis membres de l’alliance des forces démocratiques de côte d’ivoire (afd-ci) a été bonne.
« La posture que nous avons adoptée a permis de confondre le gouvernement, de mettre en relief sa mauvaise foi », argumente M. Affi qui assure également la présidence de l’afd-ci, un regroupement de douze partis politiques. « C’est une posture qui nous a permis de ratisser
large, elle n’est pas marginale, puisque les représentants de l’église catholique, de la société civile et du Mfa y ont adhéré », fait-il remarquer. Le vendredi dernier, après plusieurs heures de débat, les représentants de l’alliance, du mouvement des forces d’avenir (MFA), de l’église catholique et de la société civile avaient claqué la porte de la commission électorale indépendante. en dénonçant le fait que la partie gouvernementale refusait obstinément le consensus comme mode désignation des membres du bureau central.
Et pourtant, c’est sur la base de l’acceptation du mode de désignation par consensus par le gouvernement, que l’alliance avait enfin accepté d’entrer à la commission après deux mois de négociation. Douze membres sur dix-sept étaient cependant restés dans la salle pour mettre en place un bureau de la CEI aujourd’hui contesté ouvertement par M. Affi N’guessan .
In Notre voie
« La posture que nous avons adoptée a permis de confondre le gouvernement, de mettre en relief sa mauvaise foi », argumente M. Affi qui assure également la présidence de l’afd-ci, un regroupement de douze partis politiques. « C’est une posture qui nous a permis de ratisser
large, elle n’est pas marginale, puisque les représentants de l’église catholique, de la société civile et du Mfa y ont adhéré », fait-il remarquer. Le vendredi dernier, après plusieurs heures de débat, les représentants de l’alliance, du mouvement des forces d’avenir (MFA), de l’église catholique et de la société civile avaient claqué la porte de la commission électorale indépendante. en dénonçant le fait que la partie gouvernementale refusait obstinément le consensus comme mode désignation des membres du bureau central.
Et pourtant, c’est sur la base de l’acceptation du mode de désignation par consensus par le gouvernement, que l’alliance avait enfin accepté d’entrer à la commission après deux mois de négociation. Douze membres sur dix-sept étaient cependant restés dans la salle pour mettre en place un bureau de la CEI aujourd’hui contesté ouvertement par M. Affi N’guessan .
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