Adama Sawadogo qui se préparait à transporter le reste de son bétail vers la Côte d'Ivoire se voit obliger de les revendre à Ouagadougou suite à l'affaissement d'une partie du pont à Dimbokro : « On ne peut pas dire qu’on va s’en sortir parce qu’on comptait sur ça pour rentrer en Côte d’Ivoire et puis faire notre travail. S’il y avait le train, je pouvais partir avec cent bêtes et puis en laisser soixante ici ».
Au bureau du syndicat des commerçants burkinabè, inquiétude et angoisse se lisent sur le visage du secrétaire général. Les commerçants se préparent à se tourner vers les transporteurs routiers avec son lot de risques. « Pour le moment, on pourra certainement utiliser les camions, mais c’est plus risqué que le train. Donc ce côté-là, je crois qu’ils vont l’utiliser en attendant que les rails soient réparés », confirme Roch Donatien Nagano.
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Au bureau du syndicat des commerçants burkinabè, inquiétude et angoisse se lisent sur le visage du secrétaire général. Les commerçants se préparent à se tourner vers les transporteurs routiers avec son lot de risques. « Pour le moment, on pourra certainement utiliser les camions, mais c’est plus risqué que le train. Donc ce côté-là, je crois qu’ils vont l’utiliser en attendant que les rails soient réparés », confirme Roch Donatien Nagano.
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