
Le ministre-colonel Auguste Denise Barry a été copieusement hué par des membres du Collectif des associations et mouvements de jeunesses burkinabè en Côte d’Ivoire (Camjb-ci) en furie. L’incident c’est produit au consulat du Burkina Faso en Cote d’Ivoire, alors que le ministre effectuait une tournée dans les pays voisins, afin d’échanger avec la diaspora burkinabè sur le report de leur vote d’octobre prochain.
Le ministre Auguste Denise Barry a entamé l’étape d’Abidjan ce 9 mars 2015. La rencontre prévue au consulat général du Burkina en Côte d’Ivoire n’a pu avoir lieu. Elle a été purement et simplement empêchée par Collectif des Associations et Mouvements de Jeunesse Burkinabè en Côte d’Ivoire (CAMJBCI), jugée proche de l’ancien président Blaise Compaoré.
Quelques 10 minutes après que le ministre ait pris la parole qu’il a été interrompu par les membres du CAMJBCI, débranchant le micro, saccageant et renversant les chaises et tentes. L’hôte du consulat n’a pu s’exfiltré que grâce à la police diplomatique présente sur les lieux.
Tout est parti des propos du colonel Barry qui a soutenu que la transition a trouvé une dette de 400 milliards de Cfa.
Avec cette ardoise, l’Etat doit à la fois faire face aux urgences et offrir des élections transparentes en octobre, a-t-il fait remarquer. Cette affirmation met le feu aux poudres dans une salle surchauffée. Des éclats de voix fusent de partout pour lui affirmer la soif de vote de la diaspora.
Lire la suite
Le ministre Auguste Denise Barry a entamé l’étape d’Abidjan ce 9 mars 2015. La rencontre prévue au consulat général du Burkina en Côte d’Ivoire n’a pu avoir lieu. Elle a été purement et simplement empêchée par Collectif des Associations et Mouvements de Jeunesse Burkinabè en Côte d’Ivoire (CAMJBCI), jugée proche de l’ancien président Blaise Compaoré.
Quelques 10 minutes après que le ministre ait pris la parole qu’il a été interrompu par les membres du CAMJBCI, débranchant le micro, saccageant et renversant les chaises et tentes. L’hôte du consulat n’a pu s’exfiltré que grâce à la police diplomatique présente sur les lieux.
Tout est parti des propos du colonel Barry qui a soutenu que la transition a trouvé une dette de 400 milliards de Cfa.
Avec cette ardoise, l’Etat doit à la fois faire face aux urgences et offrir des élections transparentes en octobre, a-t-il fait remarquer. Cette affirmation met le feu aux poudres dans une salle surchauffée. Des éclats de voix fusent de partout pour lui affirmer la soif de vote de la diaspora.
Lire la suite