Le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, interrogé sur les menaces terroristes envers la Côte d’Ivoire, a indiqué qu’il n’existe pas « de menaces réelles ou visibles sur le territoire ivoirien ».
« Je peux à nouveau rassurer les Ivoiriens sur la base de ce que nous disent les services en charge de la sécurité et de la défense. Il n’y a pas de menaces réelles, visibles à ce jour sur le territoire ivoirien », a rassuré le ministre Bruno Koné.
Cependant, il a affirmé que des précautions sont prises. Et cela « pour qu’éventuellement, nous puissions réagir efficacement si une telle menace se présentait. »
Aussi a-t-il demandé aux Ivoiriens de faire confiance au gouvernement et surtout au Conseil national de sécurité qui travaillent de façon rigoureuse.
« C’est une menace qui est extrêmement diffuse et qu’on ne traite pas comme des menaces plus classiques (…) Nous avons renforcé la présence des militaires aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays et en particulier à certaines frontières de notre pays sujettes à des menaces que d’autres », a-t-il ajouté.
Toujours sur les questions sécuritaires, le Conseil des ministres a adopté trois projets de loi de ratification de conventions internationales. Ces conventions ont été signées par la Côte d’Ivoire et pour être mises en œuvre rapidement, elles avaient besoin d’être ratifiées.
Le premier projet de loi autorise le Président de la République à faire adhérer l’Etat de Côte d’Ivoire à la convention sur l’interdiction de la mise au point de la fabrication, du stockage des armes bactériologiques ou biologiques ou toxines adoptée à Londres, Moscou et Washington le 12 avril 1972.
Le deuxième projet de loi autorise le Président de la République à faire adhérer la Côte d’Ivoire à la convention sur l’interdiction, la limitation de l’emploi de certaines armes qui peuvent être considérées comme convulsion des effets traumatiques excessifs ou comme frappants sans discrimination, convention signée le 10 octobre 1980 à Genève en Suisse.
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« Je peux à nouveau rassurer les Ivoiriens sur la base de ce que nous disent les services en charge de la sécurité et de la défense. Il n’y a pas de menaces réelles, visibles à ce jour sur le territoire ivoirien », a rassuré le ministre Bruno Koné.
Cependant, il a affirmé que des précautions sont prises. Et cela « pour qu’éventuellement, nous puissions réagir efficacement si une telle menace se présentait. »
Aussi a-t-il demandé aux Ivoiriens de faire confiance au gouvernement et surtout au Conseil national de sécurité qui travaillent de façon rigoureuse.
« C’est une menace qui est extrêmement diffuse et qu’on ne traite pas comme des menaces plus classiques (…) Nous avons renforcé la présence des militaires aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays et en particulier à certaines frontières de notre pays sujettes à des menaces que d’autres », a-t-il ajouté.
Toujours sur les questions sécuritaires, le Conseil des ministres a adopté trois projets de loi de ratification de conventions internationales. Ces conventions ont été signées par la Côte d’Ivoire et pour être mises en œuvre rapidement, elles avaient besoin d’être ratifiées.
Le premier projet de loi autorise le Président de la République à faire adhérer l’Etat de Côte d’Ivoire à la convention sur l’interdiction de la mise au point de la fabrication, du stockage des armes bactériologiques ou biologiques ou toxines adoptée à Londres, Moscou et Washington le 12 avril 1972.
Le deuxième projet de loi autorise le Président de la République à faire adhérer la Côte d’Ivoire à la convention sur l’interdiction, la limitation de l’emploi de certaines armes qui peuvent être considérées comme convulsion des effets traumatiques excessifs ou comme frappants sans discrimination, convention signée le 10 octobre 1980 à Genève en Suisse.
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