En Guinée équatoriale, les médias publics ont reçu l'instruction du chef de l'État leur interdisant formellement la diffusion du procès de Laurent Gbagbo devant la Cour pénale internationale.
« Nous avons interdiction de diffuser le procès de Laurent Gbagbo en raison de ses liens d’amitié avec notre président », Teodoro Obiang Nguema, a affirmé à l’AFP, le 2 février, un chef de service du média public.
Ce n’est pas une première pour la RTNGE qui est suivie par environ 85 % de la population. Déjà, la crise postélectorale en Côte d’Ivoire, qui s’était conclue par l’arrestation de Laurent Gbagbo en avril 2011, avait été ignorée par la radio-télévision nationale équato-guinéenne sur instruction des autorités, prétextant le principe de « non-ingérence dans les affaires intérieures d’un autre pays ».
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« Nous avons interdiction de diffuser le procès de Laurent Gbagbo en raison de ses liens d’amitié avec notre président », Teodoro Obiang Nguema, a affirmé à l’AFP, le 2 février, un chef de service du média public.
Ce n’est pas une première pour la RTNGE qui est suivie par environ 85 % de la population. Déjà, la crise postélectorale en Côte d’Ivoire, qui s’était conclue par l’arrestation de Laurent Gbagbo en avril 2011, avait été ignorée par la radio-télévision nationale équato-guinéenne sur instruction des autorités, prétextant le principe de « non-ingérence dans les affaires intérieures d’un autre pays ».
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