
Notre Voie : Mme Amon, vous venez d’être nommée vice-présidente du Fpi chargée de la coordination des actions de lutte pour la libération du président Gbagbo. Avez vous des appréhensions ?
Amon Ago Marthe : Oui et non. Oui, parce que face à une nouvelle responsabilité, il y a l’angoisse naturelle des écueils. Non, parce que j’ai appris à compter sur dieu qui se glorifie toujours dans ma faiblesse.
N.V : Vous n’ignorez pas que la question Gbagbo suscite beaucoup de passion. Ne craignez-vous
pas d’être la cible de ceux qui pourraient vous voir comme une intruse dans la lutte pour la libération
du président Gbagbo?
A.A.M : Je ne pense pas que l’on puisse me voir comme une intruse dans la lutte pour la libération de
président Laurent Gbagbo.
N.V : Vous pourriez aussi être la cible du régime au pouvoir qui caresse le secret espoir de voir le président Gbagbo mourir en prison. Comment comptez-vous gérer cette situation ?
A.A.M : Ma nomination à ce poste ne me sort pas du secrétariat Général du FPI, ni du FPI. C’est la direction du fpi qui va endosser toutes mes actions ; ce n’est pas un travail à titre personnel.
N.V : Avez-vous déjà une idée des premiers actes que vous allez poser ?
A. A. M : Oui ! Mais c’est celui qui m’a nommée, c’est à-dire le président du parti qui en aura la primeur .
Propos recueillis par Augustin Kouyo
In Notre Voie
Amon Ago Marthe : Oui et non. Oui, parce que face à une nouvelle responsabilité, il y a l’angoisse naturelle des écueils. Non, parce que j’ai appris à compter sur dieu qui se glorifie toujours dans ma faiblesse.
N.V : Vous n’ignorez pas que la question Gbagbo suscite beaucoup de passion. Ne craignez-vous
pas d’être la cible de ceux qui pourraient vous voir comme une intruse dans la lutte pour la libération
du président Gbagbo?
A.A.M : Je ne pense pas que l’on puisse me voir comme une intruse dans la lutte pour la libération de
président Laurent Gbagbo.
N.V : Vous pourriez aussi être la cible du régime au pouvoir qui caresse le secret espoir de voir le président Gbagbo mourir en prison. Comment comptez-vous gérer cette situation ?
A.A.M : Ma nomination à ce poste ne me sort pas du secrétariat Général du FPI, ni du FPI. C’est la direction du fpi qui va endosser toutes mes actions ; ce n’est pas un travail à titre personnel.
N.V : Avez-vous déjà une idée des premiers actes que vous allez poser ?
A. A. M : Oui ! Mais c’est celui qui m’a nommée, c’est à-dire le président du parti qui en aura la primeur .
Propos recueillis par Augustin Kouyo
In Notre Voie