
Photo :DR
Il s'agira d'évoquer "le devenir du cinéma africain, notamment le sida culturel d'aujourd'hui qu'est la piraterie, qui tue à petit feu nos cinémas", a déclaré lors d'une conférence de presse le délégué général du festival, le Burkinabè Michel Ouédraogo.
Au total, 475 films sont à l'affiche de ce 22e Fespaco d'un budget de 1,5 million d'euros, largement financé par le gouvernement burkinabè et l'Union européenne.
Parmi ces films, dix-huit concourent pour le grand prix de l'Etalon d'or de Yennenga, remporté en 2009 par l'Ethiopien Haïlé Guérima pour son film Téza.
Treize sont sélectionnés pour la section court-métrage, 22 pour le documentaire et 37 pour la compétition TV-vidéo (fiction et séries). Onze films de la diaspora africaine prétendront au prix Paul Robinson.
M. Ouédraogo a salué les participations de la Tunisie, du Zimbabwe, du Niger, de Madagascar ou encore de la Tanzanie, "des pays qui se battent pour sortir leur cinéma de l'ombre".
"Sur une prévision attendue de 300 films, le Fespaco a enregistré 475 films, preuve que la production cinématographique africaine connaît une évolution", s'est-il félicité.
Considéré comme la plus grande manifestation cinématographique d'Afrique, le Fespaco 2011 rendra notamment hommage au comédien malo-burkinabè Sotigui Kouyaté, disparu en 2010.
L'universitaire et critique sénégalais Cham M'Bye sera le président du jury pour les longs métrages. Les organisateurs attendent jusqu'à 7.000 festivaliers.
commeaucinema.com
Au total, 475 films sont à l'affiche de ce 22e Fespaco d'un budget de 1,5 million d'euros, largement financé par le gouvernement burkinabè et l'Union européenne.
Parmi ces films, dix-huit concourent pour le grand prix de l'Etalon d'or de Yennenga, remporté en 2009 par l'Ethiopien Haïlé Guérima pour son film Téza.
Treize sont sélectionnés pour la section court-métrage, 22 pour le documentaire et 37 pour la compétition TV-vidéo (fiction et séries). Onze films de la diaspora africaine prétendront au prix Paul Robinson.
M. Ouédraogo a salué les participations de la Tunisie, du Zimbabwe, du Niger, de Madagascar ou encore de la Tanzanie, "des pays qui se battent pour sortir leur cinéma de l'ombre".
"Sur une prévision attendue de 300 films, le Fespaco a enregistré 475 films, preuve que la production cinématographique africaine connaît une évolution", s'est-il félicité.
Considéré comme la plus grande manifestation cinématographique d'Afrique, le Fespaco 2011 rendra notamment hommage au comédien malo-burkinabè Sotigui Kouyaté, disparu en 2010.
L'universitaire et critique sénégalais Cham M'Bye sera le président du jury pour les longs métrages. Les organisateurs attendent jusqu'à 7.000 festivaliers.
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