
La commémoration du 11 avril en cette année 2015 a été auréolée de succès. En effet, celle ci s'est faite en parfaite synergie par toutes les structures, partis et organisations regroupant les ivoiriens patriotes et militants du FPI qui ont souffert et souffrent toujours de la guerre imposée à notre pays qui a eu son épilogue par l'arrestation du Président Laurent GBAGBO.
En Côte d'Ivoire et dans la diaspora, plus précisément en France, il y a eu le volet politique de cette célébration à travers le grand rassemblement de la diaspora à Paris, les manifestations éclatées du FPI en Cote d'Ivoire notamment Anyama, Aboisso, Abobo etc... et l'importante mobilisation des militants et populations de Divo qui a eu raison de la police de monsieur Ouattara. Ce dimanche, c'est Accra qui a pris le relais pour accomplir la partie spirituelle de cette célébration par un moment de prières et de recueillement visant à appeler la faveur de DIEU sur la nation de sorte à ce que plus jamais un tel désastre n'ait lieu sur la terre d'Eburnie, et aussi prier pour le président Laurent GBAGBO, pour tous les prisonniers politiques, les exilés, et tous ceux qui souffrent de la situation actuelle.
Au cours de cette cérémonie organisée par la Coordination du FPI en exil, et qui a connu une bonne mobilisation, nous avons noté les présences remarquées de la famille du président GBAGBO, des membres de la coordination du Front Populaire Ivoirien en Exil, de la COPIE, du Cojep, des présidents des différents camps de réfugiés et leurs délégations, des organisations d'exilés et les hommes de Dieu.
La cérémonie, après la prière Evanlégique dirigée par les pasteurs de la CPIE (Coalition des pasteurs Ivoiriens en Exil), a été marquée par la déclaration émouvante du ministre Emile Guirieoulou, président de la Coordination FPI en exil. Il faut noter que le porte-parole du président GBAGBO, le ministre Kone Katinan a donné un message de notre leader, après quoi il y eu plusieurs témoignages poignants de personnes ayant vécu une situation particulière pendant les évènements post-électoraux, dont celui du vice-président Damana Adia Pickass. Bien après les témoignages, un cocktail a été servit et la cérémonie pris fin par une messe Catholique.
Une correspondance particulière de Kakry Khaza
En Côte d'Ivoire et dans la diaspora, plus précisément en France, il y a eu le volet politique de cette célébration à travers le grand rassemblement de la diaspora à Paris, les manifestations éclatées du FPI en Cote d'Ivoire notamment Anyama, Aboisso, Abobo etc... et l'importante mobilisation des militants et populations de Divo qui a eu raison de la police de monsieur Ouattara. Ce dimanche, c'est Accra qui a pris le relais pour accomplir la partie spirituelle de cette célébration par un moment de prières et de recueillement visant à appeler la faveur de DIEU sur la nation de sorte à ce que plus jamais un tel désastre n'ait lieu sur la terre d'Eburnie, et aussi prier pour le président Laurent GBAGBO, pour tous les prisonniers politiques, les exilés, et tous ceux qui souffrent de la situation actuelle.
Au cours de cette cérémonie organisée par la Coordination du FPI en exil, et qui a connu une bonne mobilisation, nous avons noté les présences remarquées de la famille du président GBAGBO, des membres de la coordination du Front Populaire Ivoirien en Exil, de la COPIE, du Cojep, des présidents des différents camps de réfugiés et leurs délégations, des organisations d'exilés et les hommes de Dieu.
La cérémonie, après la prière Evanlégique dirigée par les pasteurs de la CPIE (Coalition des pasteurs Ivoiriens en Exil), a été marquée par la déclaration émouvante du ministre Emile Guirieoulou, président de la Coordination FPI en exil. Il faut noter que le porte-parole du président GBAGBO, le ministre Kone Katinan a donné un message de notre leader, après quoi il y eu plusieurs témoignages poignants de personnes ayant vécu une situation particulière pendant les évènements post-électoraux, dont celui du vice-président Damana Adia Pickass. Bien après les témoignages, un cocktail a été servit et la cérémonie pris fin par une messe Catholique.
Une correspondance particulière de Kakry Khaza